Le câble Ethernet Odeion Epsilon répond aux spécifications du Gigabit Cat7a, passant sans sourciller les 1 GHz. Il est destiné à relier les électroniques haut de gamme pour la musique dématérialisée : NAS, router ou switch pourront ainsi être connectés dans les meilleures conditions à votre lecteur réseau ou votre serveur audio. La conception et le choix des composants de ce câble sont le fruit d’un long processus de recherche et développement, dans le but d’obtenir le câble Ethernet de référence pour tout système Hifi haut de gamme. C’est un câble qui ne compense pas
Ce câble Ethernet audiophile Epsilon est équipé d’un épais blindage par conducteur, doublé d’une tresse en cuivre étamé pour contrer efficacement les interférences de basse à hautes fréquences (radio). Mais ce blindage protège également les autres câbles environnants du rayonnement polluant des câbles numériques très haute fréquence. Le cuivre utilisé est de section industrielle, de très haute pureté et cryogénisé. Il est protégé par un isolant de qualité exceptionnelle. Le tout lui assure un haut niveau de vélocité, une capacitance conducteur / blindage faible, ainsi qu’une résistance linéique particulièrement faible. La connectique est également soignée par un choix 100% métallique massif afin d’assurer une continuité parfaite de masse et de blindage.
La finition est sobre, noire. La gaine utilisée est également de grade industriel, offrant une isolation très importante avec un point de rupture électrique hors de portée des contraintes audio / informatiques. Le matériau est en fibre de verre imprégnée pour une meilleure tenue mécanique et parfaite neutralité. Non extensible, son maillage serré allié à ses propriétés participent à un nouveau blindage extérieur.
À l’écoute, le gain est audible au-delà tout soupçon : moins d’artefacts « digitaux » dans le spectre haut, un équilibre tonal parfait, plus d’informations. En bref, une musicalité indiscutable. Cela s’explique aisément : avant même la quête du time-perfect, il faut lutter pour le fameux bit-perfect, en limitant le rejet des trames erronées. Cela s’explique aisément : alors que la plupart s’intéressent au bit-perfect, facilement atteignable, il s’agit ensuite de contrer les pertes temporelles (le time-perfect), en évitant les « retry » liés aux trames erronées. Si ce dernier point n’a pas d’impact lors d’un transfert de fichier, cela est audible en « streaming » car la marge de retry est limitée, et prend en outre du cycle CPU qui peut en réaction moins s’occuper des paquets audio. Un parallèle simple : les audiophiles savent bien qu’un système d’exploitation optimisé (il existe des patch windows stoppant services, processus inutiles, baissant la cadence CPU, des versions linux audiophiles, Mac OSX, …) permet d’obtenir une meilleure définition et fluidité en permettant au processeur de se consacrer un peu plus à l’audio. Nous sommes là en streaming pur, et non pas en transfert de fichier. Une trame manquante, c’est un point manquant, et la courbe est tronquée, l’information sautée. Bien entendu, pas de clic-clic audible… mais avec un bon câble, tout se met en place, s’étage, devient plus nuancé, plus de matière… Tout se met agréablement en place, s’étage, devient plus nuancé, plus de matière… plus fluide.