Câble numérique USB Odeion SIGMA Très Haut de Gamme
Le câble numérique USB Odeion SIGMA est destiné à relier sources numériques et convertisseurs analogique-numérique d’exception. Ce câble propose une évolution drastique par rapport aux Omega qui ont fait le succès de la marque dès 2010. Il en reprend les caractéristiques principales : dynamique, transparence, aération, la matière, le grain, ainsi que la finesse de restitution. Comme le Delta, c’est un câble qui ne compense pas et tend efficacement à révéler le potentiel de la chaîne, mais tout est poussé deux crans plus loin. Tout est posé, élégant, ciselé… la scène sonore s’élargit, s’approfondit. Les instruments sont détourés. On y est !
Ce câble numérique USB Sigma est équipé d’un épais blindage à légère distance par conducteur, doublé d’une tresse en cuivre étamé pour contrer efficacement les interférences de basse à hautes fréquences (radio). Mais ce blindage protège également les autres câbles environnants du rayonnement polluant des câbles numériques très haute fréquence. Le cuivre utilisé est de section industrielle, de très haute pureté et cryogénisé. Il est protégé par ce qui se fait de mieux en matière d’isolant.
Le tout assure au câble USB Sigma un niveau incroyable de fluidité, une capacitance conducteur / blindage excessivement faible, ainsi qu’une résistance linéique du même ordre. La connectique est également soignée, alliant plaquage or pour contrer l’oxydation du cuivre, solidité du corps et continuité du blindage. Cet aspect s’avère majeur pour limiter rayonnement et interférences. A ces fréquences (MHz), il suffit d’un micro espace…
La finition est sobre, noire. La gaine utilisée est également de grade industriel, offrant une isolation très importante avec un point de rupture électrique hors de portée des contraintes audio. Le matériau est en fibre de verre imprégnée pour une meilleure tenue mécanique et parfaite neutralité. Non extensible, son maillage serré allié à ses propriétés participe à un nouveau blindage extérieur performant.À l’écoute, le gain est instantané: plus d’informations, plus d’air, plus de silence, plus de fluidité, plus d’artefacts « digitaux » dans le spectre haut, un équilibre tonal parfait. En bref, une musicalité indiscutable. Cela s’explique aisément : avant même la quête du time-perfect, il faut lutter pour le fameux bit-perfect, en limitant le rejet des trames erronées. Hors, nous sommes là en USB-Audio, protocole de streaming informatique particulièrement pragmatique. En mode isochrone (temps-réel / qualitatif), il n’y a même plus de “retry”. Les trames défectueuses sont jetées. Nous sommes là en streaming pur, et non pas en transfert de fichier. Une trame manquante, c’est un point manquant, et la courbe est tronquée, l’information sautée. Bien entendu, pas de clic-clic audible… mais avec un bon câble, tout se met en place, s’étage, devient plus nuancé, plus de matière… plus fluide. Enfin, en mode non isochrone (bulk), le time-perfect est également délicat à aller chercher. Car si l’USB audio est une amélioration nette par rapport au SPDIF notamment par l’emploi d’un protocole plus riche et d’une bande passante démultipliée, ce gain est hélas mis à mal par la quantité d’information généralement supérieure qu’on y fait passer. En outre, cela nécessite une activité colossale aux CPU, bus et contrôleur USB. La gestion des “retries” est tout bonnement audible, au final presque autant que pour le cas “bit perfect”. Le point n’est toujours pas au bon endroit… mais cette fois-ci sur l’axe du temps. Bien entendu, pas de clic-clic audible… mais avec un câble tel que l’Odeion Sigma USB, tout se met fantastiquement en place, s’étage, devient plus nuancé, plus de matière, plus fluide, plus vivant, plus incontestable !